Ce qui s’est dit… le 22/04/2016
Café Powell trouve « le concept génial » des patchs odorants présents dans Nez.
Comme le dit si bien Sarah Bouasse, rédactrice en chef adjointe de Nez, « l’odorat est un sens qui a longtemps été jugé secondaire voir inférieur car il nous renvoie à notre nature animale mais pourtant c’est un sens qui est essentiel pour percevoir le monde.» C’est ce que la revue Nez cherche a démontré à travers ses 144 pages au design soigné.
Nez se propose d’unir odorat et culture dans une même approche à travers des enquêtes, des reportages, des rencontres, des photographies et des illustrations de qualité. On y parle de science, d’histoire, de littérature, d’art, mais aussi d’odorat, de création, d’odeurs de lieux et du passé mais également de parfums disponibles sur le marché. Une trentaine de critiques seront programmées à chaque numéro.
Le premier numéro de Nez nous parle d’odeur, sous toutes ses formes, et sous tous les angles. Au fil des pages, vous apprendrez entre autres l’origine de l’odeur de l’herbe coupée, vous pourrez lire du Tom Robbins, un peu d’Aragon, et découvrir une chronique olfactive de Céline Ellena. Cette revue à mettre entre toutes les mains nous apprend a sentir et ressentir différemment le monde qui nous entoure.
Et qui dit revue olfactive dit odeurs à sentir !
Le premier numéro nous offre l’opportunité de nous replonger dans notre enfance avec des odeurs de quand on était petit et plus particulièrement de l’école élémentaire. La colle Cléopâtre, la savon jaune, le crayon à papier ou encore l’encre de notre stylo plume… Une madeleine de Proust qui nous permet de nous replonger dans cet univers enfermé grâce à de petites capsules ! Honnêtement ? On ne va pas vous mentir, on trouve que le concept est GÉNIAL. Il fallait y songer…