Prenant à rebours l’histoire du féminisme, ce Palmarès fait la part belle à des hommes et des femmes qui se sont inscrits dans ce courant mais qui n’ont jamais été considérés comme des féministes.
Méconnus, oubliés, incompris ou méprisés, voici une séance de rattrapage pour ces féministes qui sont passés à la trappe.
Facile à prédire, la théorie suivante est ambitieuse à vérifier : seuls les moustachu(e)s ont su modifier le cours de l’Histoire, tel est notre pari.
Outil pédagogique pour un usage nouveau, « Ces 30 moustachus qui n’ont jamais rien fait de mal », est une sélection ultra-subjective de ces génies dont l’existence permit de maintenir intacte la flèche du temps. Piégé par le prétexte-ressort du moustachu sympathique qu’on oppose au moustachu tyran, le lecteur avide de se sentir au plus large dans ses baskets, puisera dans sa lecture un corpus d’idées fondamentales (ou accessoires) présenté comme jamais il n’aurait imaginé pouvoir se les raconter.
Que se passe-t-il quand on écrit un seul roman à succès? Quelles histoires se cachent derrière? Suicidés par dépit ou par principe, orgueilleusement retirés de la cochonnerie littéraire, dévorés par le fantasme du livre unique ou entraînés dans l’action politique, effondrés dans la folie ou réduits à l’impuissance d’écrire – chacun de ces 30 auteurs incarne à sa manière une facette paradoxale de la vocation d’écrivain. Un Palmarès acide et passionnant.
Que se passe-t-il dans la tête d’un gardien qui, en dehors de toute logique a priori, part à la conquête de la cage adverse ? Quelles circonstances pour toucher la grâce de l’improbable ? Ferdinand Miollis distille à travers six chapitres une épopée inédite et fabuleuse qui nous fait aimer ce sport au-delà des règles, rythmée par les dessins nés de l’essence d’un geste de Clément Charbonnier Bouet.
Histoire et philosophie de la beauté de trente actions difficiles à croire, mais qu’il est possible d’imaginer. Une exploration littéraire et poétique pour tenter d’expliquer le phénomène des « gardiens-buteurs », surprises à la clé.
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Qu’est-ce qu’une reprise ? Qu’est-ce qu’une bonne ou une mauvaise reprise ? Si ce livre ne donne pas tout à fait les réponses à ces questions, il en pose une autre, plus ample : pourquoi une reprise? Que le transport soit temporel, de genre, de style, ou tout à la fois, la reprise a ceci de particulier qu’elle est bourrée d’intentions, bonnes ou mauvaises. On y trouve toujours, plus ou moins caché, un petit supplément d’âme qui bouleverse, renverse ou déçoit. Et si parfois le disciple dépasse incontestablement le maître, au point qu’il peut parvenir à éclipser celui auquel il doit son succès, il y a des fois, souvent, où il s’agira aussi d’une traduction – comme dans une langue étrangère – qui touche juste, souvent très près du cœur. C’est en triant sur le volet que Pierre Siankowski s’est plongé dans cette somme infinie pour nous en livrer l’essence, qu’elle plaise ou non, appuyé des dessins sensibles et révélateurs d’inconscient d’Hélène Paris.